En France, les médecins se rebellent et imposent leurs protocoles

Face à la léthargie des politiques : les médecins prennent leurs responsabilités.

Devant les nombreux cas confirmés de coronavirus dont plusieurs morts et la pagaille que connaîssent les hôpitaux en France, les médecins se rebellent et passent à l’action .

Dans un communiqué signé par les professeurs, Philippe Brouqui, Jean Christophe Lagier,Matthieu Million, Phillips Parola, Didiet Raoult et Marie Hocquart, Ces derniers ont décidé de prendre les affaires en main, sans se référér aux décisions de la hiérarchie, mais conformément au serment d’Hippocrate , qu’ils ont prêté et obéissent au seul devoir de médecin.

Ce devoir de prise en charge du malade pour le diagnostique et le traitement .

Les signataires s’engagent à respecter les règles de l’art et les données les plus récemment acquises de la science médicale.

Ainsi ils ont décidé de pratiquer le test pour le diagnostic d’infection au  Covid19,pour tous les patients qui viendront les voir.

Coup d’Etat:

A Marseille les medecins prennent le pouvoir et envoient  » balader  »  les politicards!
Un ami travaillant dans le secteur medical nous envoie ce communiqué :

 » Dans le contexte actuel de la propagation de l’épidémie à coronavirus Covid-19 sur le territoire français et dans le monde,
Conformément au serment d’Hippocrate que nous avons prêté, nous obéissons à notre devoir de médecin. Nous faisons bénéficier à nos patients de la meilleure prise en charge pour le diagnostic et le traitement d’une maladie. Nous respectons les règles de l’art et les données les plus récemment acquises de la science médicale.
Nous avons décidé :
· Pour les tous les malades fébriles qui viennent nous consulter, de pratiquer les tests pour le diagnostic d’infection à Covid 19 ;
Passé au scanner tout les malades qui présentent des lésions pulmonaires
Prescrire un traitement par l’association hydroxychloroquine (200 mg x 3 par jour pour 10 jours) + Azithromycine (500 mg le 1er jour puis 250 mg par jour pour 5 jours de plus), dans le cadre des précautions d’usage de cette association (avec notamment un électrocardiogramme à J0 et J2), et hors AMM. Dans les cas de pneumonie sévère, un antibiotique à large spectre est également associé.
Nous pensons qu’il n’est pas moral que cette association ne soit pas inclue systématiquement dans les essais thérapeutiques concernant le traitement de l’infection à Covid-19 en France. »

Abdellah DEBBACHE

Articles similaires

Bouton retour en haut de la page
Fermer