Brésil-Belgique: Le vrai diable était rouge!

Soirée moules frites !

Un pur régal, une partition à la Mozart, deux équipes techniquement surdimensionnées, on assista alors à un feu d’artifice. Nul besoin de spéculer sur les performances d’un tel ou d’un autre, les plus grands de cette coupe du monde étaient la, un Neymar toujours aussi tranchant contre un Hasard fuoriclasse grandiose, sans évoquer un Lukaku monstrueux tout simplement.

Sur un corner à la 13’, Fernandinho le milieu brésilien dévie dans son propre but 1à 0 pour la Belgique.

Un match qui redouble d’intensité et de prouesses techniques , nous avons assisté à un spectacle envoutant ; du rythme conjugué à un talent pur et au cours d’un slalom de Monsieur Lukaku en contre dans la défense brésilienne , il délivre un caviar a son compère De Bruyne qui décoche un coup de pied tendu petit filet imparable 31’ : Belgique 2 – Brésil 0, un avantage non négligeable avant la pause .

En seconde période même partition de jeu léché, rythmé, soigné, l’entraineur brésilien eut pour mérite de faire rentrer Renato Augusto et sur un centre de Couthino celui -ci revient à 2à1sur un coup de tête et donc la course contre la montre pour l’égalisation s’engagea, on vit des Marcello, des Neymar, des Couthino et un dribleur de feu coté droit Douglas Costa mais rien n’y fit.

 Même pas, la dernière tentative a la 93’ de Neymar sur un formidable travail de Douglas Costa.

La Belgique ma foi est en demi-finale une fois !

De Paris Rafik D

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